Presse Hongrois
Dave Sumner
Lapouge’s newest recording has him sticking with the same trio that led to the success of Plein Air. It also reveals a clearer image for how Lapouge wants things to shake out. This music sounds crisper and rings with clarity. Revealingly, there isn’t the ebb and flow of melodic control between guitar and cello. On Plein Air, there were the “guitar songs” and the “cello songs.” That back and forth led to some intriguing moments. But the synthesis between the two instruments on Hongrois utilizes those same tools of intrigue, and focuses them through a much sharper lens, leading to some necessary cohesion.
Opening track “Naples” gets right to the heart of the matter with two sections of guitar-cello unity book-ending a more conventional trading of ideas between all three musicians. It doesn’t pick and choose which instrument will be in ascension; it simply allows shifts of focus to occur while keeping the entire picture in the spotlight. But more to the point is the title-track “Hongrois” and how all three instruments come together in a way that makes it so the spotlight and the focus need not adjust or choose at all. And “Illusion du Fond” is illustrative of how comfortable the trio has grown with this approach in the way a song-like structure is the foundation for both jazz and blues and chamber streaks to seamlessly wash over one another, time and again.
Pour son dernier enregistrement Lapouge est resté fidèle au trio qui a mené au succès de Plein Air. Cet enregistrement révèle également la façon dont Lapouge veut que les choses évoluent. la musique semble plus précise et plus claire. Qu’ il n'y ai plus le va-et-vient du contrôle mélodique par la guitare ou le violoncelle est révélateur.
Dans Plein Air, il y avait les «morceaux guitare» et les «morceaux violoncelle». Ces allers et retours ont donné lieu à des moments captivants. Dans Hongrois, la combinaison des deux instruments utilise les mêmes ressorts, mais les focalise à travers une lentille beaucoup plus nette, amenant une cohésion bienvenue. Le morceau d'ouverture, "Naples", est au cœur de la question avec deux sections guitare-violoncelle qui mettent fin à un échange d'idées plus convenu entre les trois musiciens : aucun des instruments n’est choisi pour être mis en avant, ce qui permet à l’auditeur de simplement faire des changements de focale tout en gardant l'image entière dans son champ de vision. Le morceau « Hongrois » est à ce titre le plus abouti : ici les trois instruments se réunissent de manière à ce que le projecteur et l'objectif n’aient pas à être ajustés ou même choisis du tout. Et «Illusion du Fond» illustre bien le degré de maîtrise auquel s’est hissé le trio à travers ce type d’approche, en ce sens que la structure d’un morceau, qui peut être celle de la chanson, permet d’incorporer les éléments du jazz, du blues, et même parfois de la musique de chambre, en se complétant et se succédant tour à tour pour se réinventer sans fin.
https://www.birdistheworm.com/now-seems-like-an-ideal-time-to-talk-about-jean-lapouge/